Gars bisexuel et polysexuel, pair aidant et éducateur en sexualité Réalisé avec le soutien du programme Champions communautaires
Ceci est une version censurée de l’article; elle contient quand même du langage cru par rapport au sexe. La version originale contenant plusieurs images sexuellement explicites se trouve ici.
Voici la troisième partie d’une série de quatre sur comment le sexe fonctionne avec quelqu’un qui a un clitoris et un vagin – ou les autres termes que cette personne préfère pour ses parties sexuelles – qu’il s’agisse d’une femme cisgenre ou d’une personne non-binaire ou trans. Tu peux trouver la première partie ici (elle explique plusieurs termes qui vont revenir dans ce texte; je te conseille d’au moins la survoler) et la deuxième, ici. Cette partie-ci, on va voir des différentes façons dont on peut jouer avec le corps d’une personne qui a un clito pour lui donner des sensations incroyables
Ce ne sont pas « les préliminaires »
Notre société glorifie le sexe pénis-dans-vagin (PdV) et on parle souvent de tous les autres actes sexuels qui y mènent comme n’étant que « les préliminaires », comme si le but de chaque rencontre sexuelle était pour un pénis de fourrer quelque chose. Il y a du monde qui va même considérer ne pas avoir couché avec quelqu’un s’il n’y a eu aucune pénétration, malgré avoir travaillé fort à faire arriver des orgasmes. La pénétration n’est qu’un acte sexuel parmi plusieurs et elle n’a à se produire que si tou-tes les partenaires en ont envie. Plusieurs personnes lui préfèrent des actes sexuels que d’autres appelleraient des « préliminaires ». Le sexe peut être tout ce que vous voulez qu’il soit, tant qu’il est sécuritaire, puis que tout le monde est consentant et en état de prendre des décisions éclairées.
Doigter
Plusieurs gens utilisent le mot « doigter » pour parler de masturber quelqu’un qui a une vulve ou un trou bonus. Les mains et les doigts sont plus précis qu’une graine quand il s’agit de stimuler quelqu’un de la bonne manière. C’est aussi une des activités sexuelles les plus sûres qui implique de toucher les parties sexuelles de quelqu’un d’autre.
En pratique, on ne voit pas de gens attraper le VIH ou d’autres ITS transmises par des fluides sexuels en masturbant quelqu’un d’autre. La transmission des ITS qui se passe par le contact d’une peau à une autre – comme avec l’herpès ou le VPH – peut se produire, mais c’est rare. Mieux vaut ne pas toucher les verrues génitales ou les plaies ouvertes que cause l’herpès, puis tu devrais te laver les mains immédiatement si un contact se produit (pour l’herpès, il y a aussi le risque d’infecter une partie différente du corps de la personne atteinte). Masturber quelqu’un d’autre reste beaucoup plus sûr pour ta santé et celle de ton amant-e que beaucoup d’activités quotidiennes (être passager d’une voiture, faire du sport, etc.). Peut-être que même un risque faible te rend anxieux par contre. Quand c’est le cas, c’est correct de dire à ta partenaire que tu préférerais utiliser des gants en latex ou en nitrile, ne serait-ce que pour ta tranquillité d’esprit.
Prépare-toi avant de doigter quelqu’un. Prends l’habitude de garder tes ongles courts et arrondis : il n’y a pas beaucoup de monde qui aime se faire grafigner ses parties les plus sensibles par des ongles pointus. Tu peux laver tes mains avant de les mettre dans le corps de quelqu’un d’autre, mais le risque réel d’infecter un vagin par une bactérie égarée est très bas. Néanmoins, ton amant-e pourrait se sentir plus à l’aise quand tes mains sont propres. Avoir du lube à portée de la main est une bonne idée : la peau de la vulve est sensible et la friction peut rendre l’expérience déplaisante. La meilleure façon d’apprendre à masturber une autre personne est de la regarder se masturber (lire l’article). Elle sera peut-être même heureuse de te donner un bon show! Certaines personnes sont inconfortables de se masturber devant quelqu’un d’autre cependant. Ça reste malgré tout correct de demander à un-e amant-e si tu peux les regarder se branler, surtout quand t’expliques que tu veux apprendre ce qui lui fait du bien. Comme toujours, communique pendant que tu masturbes ton partenaire : laisse-le te guider et te parler de ce qui est vraiment bon et de ce qui ne l’est pas. Chaque personne aime des choses différentes et ce qui marchait avec un-e ancien-ne partenaire ne marchera peut-être pas avec qui tu joues en ce moment.
Bien que certain-es propriétaires d’un clito aiment passer tout de suite à l’action, ça va être plus long pour la plupart de devenir bien excité-e que pour une personne qui a une queue depuis la naissance. Donc embrasser, caresser, jouer avec les zones érogènes et frotter l’entrejambe (habillé ou découvert) démarrent bien le plaisir. Demande à l’autre si elle préfère que tu la masturbes avec du lubrifiant. Tu peux jouer avec la plupart des parties de la vulve: elle est très sensible dans l’ensemble. Cependant, c’est souvent au niveau du clitoris que le plaisir le plus intense se passe. Certaines personnes aiment la stimulation directe de la tête du clito, mais plusieurs trouvent ça trop sensible. À la place, tu peux caresser le gland au travers de son capuchon ou caresser autour. Avant de mettre tes doigts dans le trou d’en avant de ton amant-e, demande si c’est correct; ne suppose pas que c’est chill juste parce que ce-tte partenaire aimait bien ta branlette jusqu’à date. Tu pourrais aussi avoir de la difficulté à trouver son trou d’en avant quand tu n’es pas habitué, donc demande lui de t’aider avec ça. Tu peux commencer avec deux doigts, mais il y a du monde qui préfère (ou qui doit absolument) commencer par un seul. Ta partenaire peut apprécier un simple mouvement de va-et-vient. Tu peux aussi tâter le mur avant du vagin (vers le nombril) quelques centimètres à l’intérieur pour trouver le point G ou le clitoris interne engorgé. Frotter cette endroit avec un mouvement des doigts de « vient par ici » fonctionne bien pour beaucoup de gens. Plus vite ne veut pas toujours dire mieux, étant donné que certaines personnes préfèrent une stimulation lente mais constante; communique avec ton amant-e là-dessus. Aussi, certaines personnes n’aiment juste pas qu’on joue avec leur point G.
Si t’es intéressé à essayer de jouer avec le fornix antérieur de ton partenaire, demande-lui avant et attends-toi à devoir lui expliquer ce que c’est : la plupart des gens qui ont un fornix ne savent pas ce que c’est et ça peut être bizarre quand quelqu’un essaie de tripoter le fond de ton canal sans aborder la chose en premier. L’idée va rendre certain-es partenaires inconfortables et c’est correct. Certain-es autres vont savoir ce qu’est leur fornix par contre et ces personnes sauront peut-être comment jouer avec celui-ci; elles pourront te guider dans ce cas. C’est difficile parfois d’ atteindre le point A, mais c’est plus facile d’y accéder quand ta partenaire se couche sur son dos et remonte ses jambes et ses pieds : ça raccourcit le canal. Va avec tes doigts à la fin de son mur avant, vers la vessie et l’os du pubis, juste au dessus du col de l’utérus. Explore lentement au début et évite d’accrocher le col : la plupart du monde trouve que ça fait mal. Mais une fois que t’auras trouvé l’endroit – plusieurs personnes disent qu’il a une texture différente – essaie un mouvement lent de « viens par ici », comme pour jouer avec le point G, mais à l’extrémité profonde du canal. La sensation va être différente pour ton amant-e qu’en jouant avec son point G et c’est possible qu’elle n’aime pas ça. Il n’y aura peut-être pas de sensation spéciale non plus. Néanmoins, ton amant-e pourrait adorer ça et vous pourrez explorer ensemble cette nouvelle façon de vous taper du bon temps.
Les jouets
Plusieurs jouets sexuels existent pour les gens qui ont un clito et un vagin : des cocos vibrant, des vibrateurs rotatifs, des vibrateurs en U qui stimulent tant le gland du clitoris que le trou d’en avant, des dildos non-vibrants classiques, etc. Ce n’est pas tout le monde qui aime les jouets, mais plusieurs gens les adorent et en gardent une bonne collection. Quels jouets donnent les meilleures sensations est différent d’une personne à l’autre. Un-e partenaire pourrait être en amour avec son coco vibrant ou son bullet; un-e autre pourrait trouver ça plate et préférer un dildo courbé en pyrex pour jouer avec son point G ou son point A. Les jouets sexuels sont un sujet immense [images de jouets sexuels] que je ne peux pas couvrir ici, mais ils existent et demeurent une possibilité entre partenaires. Ton amant-e pourrait avoir ses préférés déjà, mais si vous magasinez ensemble, un bon sex shop aura du personnel bien informé qui pourra vous conseiller. La transmission du VIH et des ITS est possible par le partage des jouets, mais elle reste moins risquée que pour la pénétration avec un pénis de chair et de sang. Quand le monde avec qui tu couches et toi prévoyez utiliser le même jouet sur plus d’une personne d’affilée, c’est conseillé de mettre un condom sur le jouet et de remplacer cette capote quand le jouet passe à quelqu’un d’autre. Plusieurs jouets se lavent facilement avec de l’eau tiède et du savon doux. On peut en stériliser certains en les faisant bouillir 20 minutes. L’entretien d’un jouet dépend de son matériau et de s’il est motorisé ou non (ou waterproof); tu devrais demander comment le nettoyer quand tu l’achètes (ou rechercher l’info en ligne). Enfin, plusieurs jouets sont faits de silicone et utiliser du lube à base de silicone va les endommager, donc n’utilise que du lubrifiant à base d’eau avec ceux-ci.
Le fisting du trou d’en avant
Le fisting – faire entrer ta main au complet dans le vagin de l’autre personne – est un acte sexuel que plusieurs gens ne font pas, même s’il est mieux connu que jouer avec le point A. Fister est exigeant et ça produit une sensation très intense. Ça ne s’improvise pas (d’habitude…) et ce n’est pas pour tout le monde. La suggestion pourrait intimider certain-es partenaires : c’est la chose la plus kinky que je vais aborder dans cette mini-série en termes de stimulation avec les mains ou de pénétration. Pour certain-es, le fisting est impossible à cause d’une combinaison d’une main trop grande et d’un plus petit canal. Certaines personnes adorent se prendre la main au complet cependant et elles seront ravies d’avoir un partenaire qui soit partant pour fister et qui sache comment s’y prendre. Discutes-en avec ton amant-e pour t’assurer que c’est son truc et de son consentement , mais aussi parce que les deux personnes doivent être actives pour que cet acte se passe bien. Tu ne peux pas juste décider de fister quelqu’un et t’attendre à ce que cette personne fasse la planche et se prenne ta main; elle doit faire des choses de son côté pour aider à la faire entrer. Ça prend une bonne communication pour se rendre là et ne pas faire mal à ton partenaire.
Encore une fois, garde tes ongles courts et sans bout accrochant. Aie du lube à portée de la main : le fisting demande beaucoup de lubrification. Utilise un gant de nitrile ou non-poudré en latex pour rendre ta main plus lisse et la pénétration plus facile. Ton amant-e devrait être à la fois détendu-e et très excité-e. Si cette personne est multi-orgasmique, ça va aider si elle a déjà joui. Lubrifie très bien ta main, surtout la partie la plus large. Malgré le nom de l’acte (fist veut dire poing en anglais), ne forme pas de poing avec ta main; mets plutôt les cinq bouts de tes doigts ensemble dans la forme d’une tête d’un serpent (pense kung fu) ou d’un bec de canard. Tu veux une forme qui commence petite et étroite et qui va s’élargir progressivement. Tu peux réchauffer la personne en la doigtant et en ajoutant un doigt à la fois jusqu’à ce que ta main atteigne cette forme. Parle-lui pour t’assurer de son confort tout le long. Les jointures sont le bout difficile à faire entrer. De ton côté, essaie davantage un mouvement gauche-droite de vissage d’ampoule électrique plutôt que de pousser. Du côté de ton amant-e, serrer son muscle PC (le muscle qu’on contracte quand on veut s’arrêter au milieu d’une pisse) et le relâcher avec une grande expiration peut aider ta main à aller plus loin. Se coucher sur son dos, basculer sa tête vers l’arrière et s’étirer peut créer plus de place dans son canal (certaines personnes avec de l’expérience dans le fisting préfèrent des positions différentes). Soyez patient-es et allez aussi lentement que nécessaire. Fister pourrait ne pas marcher et c’est important de vous arrêter plutôt que quelqu’un se fasse mal. Respectez vos limites mutuelles. Aussi, la personne qui se prend la main pourrait jouir à cause des mouvement de la main qui essaie d’entrer, puis la contraction des muscles pourraient repousser cette main à l’extérieur. C’est correct : savourez l’orgasme et décidez ensemble si vous voulez essayer une autre fois.
Une fois toute la main entrée, elle va naturellement prendre la forme du poing. Des orgasmes pourraient se produire quand la main est là et les muscles du canal pourraient serrer fort : mieux vaut garder le pouce à l’extérieur du poing pour lui éviter d’être écrasé. La personne détentrice de la main devra tolérer tout inconfort et toujours laisser savoir à son partenaire à quel moment elle va commencer à retirer sa main. Vous devrez tout-es les deux le faire lentement et la personne qui a la main dans son corps devra faire le même travail d’étirement qui a permis à la main d’entrer. En terme de mouvements pour stimuler, pour certaines personnes, juste avoir la main à l’intérieur est en masse de stimulation et aucun mouvement n’est nécessaire. Quand on fait bouger la main, il faut le faire lentement et on ne va pas pour la va-et-vient de baise. On peut élargir ou contracter lentement le poing; le faire tourner doucement vers la gauche ou la droite; ou essayer in mouvement subtil de va-et-vient. Encore une fois, communiquez! Ensemble, vous trouverez ce qui donne les meilleures sensations.
Manger quelqu’un
Recevoir un cunnilingus (le mot clinique pour parler de bouffer une chatte) est l’acte sexuel préféré de beaucoup de gens, qui préfèrent souvent ça à la pénétration. Plusieurs personnes sont mal à l’aise avec leur propre vulve par contre et l’idée d’un-e partenaire y mettant sa face peut être intimidante. Donc comme toujours, demande à l’autre personne à quel point elle est confortable avec l’idée que tu te mettes à la manger et qu’est-ce que tu peux faire pour l’aider à se sentir plus à l’aise. Être attentionné tout comme être enthousiaste à la pensée de manger ton amant-e peut aider beaucoup. Montre que tu ne désires rien de plus que de rendre ta partenaire folle de plaisir et agis comme si t’avais le plus délicieux des nananes dans ta bouche. Certaines personnes n’aiment pas se faire manger cependant, tout comme d’autres n’aiment pas manger quelqu’un, et c’est correct. Dans le long terme par contre, une relation dans laquelle la sexualité est importante risque de souffrir quand elle se passe entre quelqu’un qui adore recevoir du sexe oral et quelqu’un qui n’aime pas en donner. Espérons malgré tout que vous êtes sur la même longueur d’onde à ce sujet.
Pour commencer, parle avec ton amant-e de ce qui lui plaît et de ce que tu devrais éviter. Ensuite, installe-toi confortablement, vu que ça prend un bout de temps à jouir pour plusieurs personnes qui ont un clito – 20 minutes ou plus, des fois – et devoir changer ta position au moment où l’autre est sur le bord de venir pourrait causer des frustrations. Ne plonge pas directement sur le gland, car il est super-sensible. Tu vas devoir y aller graduellement et des fois, stimuler la tête directement ne sera jamais une possibilité. La chatte au complet à des tas de nerfs pour donner du plaisir, donc commence en explorant et sois attentif à se qui déclenche des réactions heureuses. Ton partenaire devrait aussi te laisser savoir si tu te réchauffes ou si tu te refroidit avec ce que tu fais. Voici des choses que tu peux essayer. Passe ta langue lentement un peu partout, soit avec toute ta longue ou juste avec le bout. Embrasse et caresse différentes places avec tes lèvres. N’hésite pas à sucer sur quelque chose, mais commence en douceur. Essaie d’utiliser ton nez ou ton menton (attention au grain de ta barbe, quoiqu’il y ait du monde qui aime ça) si tu veux. Fais ton chemin jusqu’au capuchon du clito et explore cet endroit. Lèche le capuchon et l’espace qui l’entoure. Suce le capuchon et – indirectement – le gland qui est en-dessous. Quand ta partenaire deviendra vraiment excitée, tu pourrais même sentir la tige du clito sous la surface, sois en suçant ou en frottant l’endroit avec tes doigts. Des gens disent que traiter l’endroit comme si tu taillais une pipe marche bien, mais commence doucement et vas-y progressivement vers une stimulation plus forte. Avec quelqu’un qui aime se faire doigter, tu peux faire entrer une couple de doigts dans son trou d’en avant et pousser contre le clitoris interne en faisant ce mouvement de « viens par ici » dont j’ai parlé auparavant. Lécher l’entrée du canal et pousser ta langue à l’intérieur sont aussi des possibilités. Si ta partenaire est prête à ça, tu peux essayer de titiller son gland directement ou même de le sucer, mais commence tout doucement et n’en fait pas trop, à moins que ton amant-e soit en train de capoter (de la bonne façon).
En explorant un peu, en communiquant ensemble et en étant attentif aux réactions de ton partenaire – même à des changements subtils dans ta manière de toucher – tu pourrais finir par découvrir une approche qui l’excite beaucoup. Quand ça arrive, garde cette approche : le mouvement, le rythme, la pression et tout le tralala. Il n’y a pas de garantie que ton amant-e va jouir grâce à ce que tu fais et c’est correct. Pour beaucoup de gens, ça prend une stimulation très constante pour se rendre là. Mais avec un peu de patience, puis de l’enthousiasme à infliger du plaisir et à expérimenter, tu vas apprendre comment ta partenaire adore se faire manger.
Il faut penser à vos santés quand vous faites du sexe oral. Le risque d’attraper le VIH en mangeant une chatte est très bas (quoiqu’il est plus élevé quand il y a du sang menstruel, donc fais attention, en particulier quand t’as une coupure ou une plaie dans la bouche). D’autres ITS se transmettent de cette façon cependant, soit de la personne qui donne à celle qui reçoit, ou vice versa. En particulier, les ITS qu’on transmet par le contact de la peau comme l’herpès (une personne peut être contagieuse des fois même s’il n’y a pas de plaie visible) ou le VPH sont un risque si l’un-e d’entre vous est infecté-e. Vous pouvez protéger vos santés respectives en utilisant une digue dentaire, qu’on peut faire soi-même ; mettre du lubrifiant du côté qui touche la vulve va améliorer l’expérience. La texture de la digue peut aussi être une sensation intéressante à jouer avec, surtout si l’un-e d’entre vous a un fétiche pour le latex. La plupart des gens font des cunni sans barrière sans que rien de dramatique ne leur arrive. Par contre, c’est courtois de demander à quelqu’un s’il préfère utiliser une digue. Faites-vous aussi dépister pour les ITS aux six mois quand vos pratiques sexuelles comprennent du sexe oral sans protection.
Ça conclut la troisième partie. Dans la dernière partie de cette mini-série, on va parler de pénétration vaginale et de fourrer, des activités que plusieurs personnes ont en tête.
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